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Compte rendu GPEC (Gestion Prévisionnelle de Emplois et Compétences) Le 05 Octobre 2018

La pyramide des âges a été réalisée.

La mise à jour des organigrammes et de l’analyse des postes est en cours.

Les prochaines étapes sont

-La cartographie des métiers

-Les parcours professionnels

-Le référencement des compétences internes

Un état de la mise à jour des organigrammes a été réalisé 100 % au 30/06/2018.

Il n’est depuis plus à jour (suite aux derniers changements/intégration).

Un Kaizen va être réalisé concernant la fiche au poste.

Objectif : Faciliter la mise à jour, gagner en visibilité

Faire de la fiche de poste un outil de la GPEC

Les prochaines étapes :

Mises à jour de toutes les fiches aux postes

Vérification de la pesée des postes (contenus)

Cartographie des métiers

Information & divers : 

1- https://www.guideldse.org/    [Loi Rebsamen FGMM & Syndex]

2- https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/N19806

 

3- https://travail-emploi.gouv.fr/mot/fiches-pratiques-du-droit-du-travail

Site CFDT : 

1- https://www.cfdt.fr/   [Site de notre confédération]

2- https://www.fgmm.cfdt.fr/  [Site de notre fédération]

Lien Administration : 

1- https://www.elections-professionnelles.travail.gouv.fr/  [Consulter un procès-verbal]

 

Pour les adhérents CFDT

Cotisations syndicales

30/04/2018 08:04
LES COTISATIONS SYNDICALES Publié le 23/04/2018 Par Jean-Michel Garnier, Denis Grégoire, Gérard Louis et Jean-Claude Tailliez     Tous les adhérents CFDT bénéficient d’un crédit d’impôt égal à 66 % du montant de la cotisation acquittée en...
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Valeur de la CFDT

Cinq valeurs qui font de l’homme le véritable acteur de ses choix de vie, pour construire un monde plus équitable et durable avec la CFDT.

Émancipation
Inscrite dans nos statuts, l’émancipation, tant individuelle que collective, est pour nous un droit inaliénable.

  • Pour diriger sa vie.
  • Pour imposer le respect de la dignité et de la liberté dans l’entreprise et au sein de la société, et pour satisfaire les besoins de chacun, matériels et intellectuels, dans sa vie professionnelle et personnelle. 

Démocratie
Une valeur qui est l’identité même de la CFDT, elle se trouve d’ailleurs au cœur de notre sigle.

  • Pour s’exprimer librement et participer à la prise de décision.
  • Pour être acteur de l’amélioration de ses conditions de travail et de vie, au delà de toute différence d’origine, de nationalité, de confession religieuse et d’opinion. 

Indépendance
La CFDT estime indispensable de distinguer ses responsabilités de celles de l’État, des partis politiques et des confessions religieuses.

  • Pour conserver son autonomie et son sens critique.
  • Pour impulser ou infléchir les décisions gouvernementales. 

Autonomie
L’indépendance de pensée et d’action ne peut se concevoir si la CFDT est tributaire de ressources externes.

  • Pour garantir son indépendance financière et lui donner les moyens de son autonomie, la CFDT s’appuie sur un syndicalisme d’adhérents.

Solidarité
Être solidaire, c’est faire le choix de l’entraide pour défendre les droits de tous.

  • Pour défendre les droits au sein de l’entreprise, mais aussi entre les salariés et les chômeurs, entre les générations, et plus largement entre les peuples.
  • Pour lutter contre toute forme d’exclusion, d’inégalité et de discrimination.

Point sur la négociation en 2018

En ce début d’année 2018, à la suite de la signature de l’avenant de prolongation de l’accord de méthode, les négociations du dispositif conventionnel ont repris avec comme thème « le temps de travail et les déplacements professionnels ».
Il y aura ensuite encore d’autres dossiers complexes (la santé au travail, la protection sociale, les rémunérations…)

La négociation aboutira au mieux fin 2018 ou courant 2019. Ce thème du temps de travail et des déplacements fait l’objet aujourd’hui de nombreux accords dans la branche. Le but de la négociation en cours est de refondre ces différents accords dans un seul texte et de donner un cadre de branche.

Conformément à la législation, le dispositif négocié dans la branche s’appliquerait dans le cas où il n’y a pas d’accord majoritaire dans les entreprises sur ces sujets.

Lien sur le Tract : 

Dispositif Conventionnel Métallurgie point sur la négociation en 2018

ICI

Nouvelles classifications dans la métallurgie

ICI

Les femmes et les hommes de l’industrie doivent construire l’avenir

La FGMM-CFDT choisit la « Semaine de l’industrie » pour lancer un appel aux employeurs : l’Industrie du futur doit se construire avec ses travailleurs.

Placer l’être humain au cœur de l’Industrie du futur est un défi majeur, toutes les parties prenantes partagent ce point de vue. Mais au-delà d’une déclaration d’intention, comment réaliser cet objectif partagé ?

Faire l’industrie de demain « à la française », comme le propose le label « French Fab » lancé par le ministre Bruno Lemaire, ne relève pas du seul discours sur la technologie. Certes, la montée en compétence des salariés par la formation professionnelle est une nécessité. Les besoins doivent être anticipés, car la tentation est grande de surfer sur les départs volontaires et naturels afin de réaliser le remplacement des travailleurs de « l’ancienne industrie » par de jeunes salariés mieux préparés à la numérisation.

Au-delà, la « French Fab » doit avoir l’ambition de mobiliser ses salariés en les rendant acteurs du changement qu’ils vont vivre. La CFDT Métallurgie propose de repenser le dialogue social pour en faire un déterminant de la performance de la « French Fab ». Il s’agit de mettre les salariés et leurs représentants en position de comprendre le présent, d’imaginer le changement et de co-construire l’avenir.

Parallèlement aux enjeux nationaux, la CFDT Métallurgie est fortement impliquée dans le débat sur l’avenir de l’industrie européenne. Avec les fédérations FO Métaux, FTM-CGT et le syndicat allemand IG Metall, elle est à l’origine de la création d’un groupe de travail permanent de « Politique industrielle ». Ce groupe franco-allemand a mis en évidence la nécessité de coordonner les activités de politique industrielle des deux pays.

Dans une déclaration commune, les quatre organisations syndicales de la métallurgie ont esquissé les thèmes centraux qui doivent être ciblés par une politique industrielle active. Elles proposent de créer, dans le cadre des réunions semestrielles du Conseil des ministres franco-allemand, un « Conseil de politique industrielle », auquel elles doivent participer.

La déclaration commune signée par la FGMM-CFDT, FO Métaux, FTM-CGT et IG Metall sera envoyée au cours de cette semaine de l’industrie à Bruno Lemaire ainsi qu’aux députés européens français. IG Metall a de son côté diffusé cette déclaration aux pouvoirs publics allemands.

 

 

Réforme des retraites, c'est parti pour les concertations

Réforme des retraites; c'est parti pour les concertations

22/04/2018 08:48
RÉFORME DES RETRAITES : C’EST PARTI POUR LES CONCERTATIONS Publié le 18/04/2018 Par Jérôme Citron   Une délégation CFDT conduite par Laurent Berger a été reçue le 16 avril par Jean-Paul Delevoye, haut-commissaire à la réforme des retraites, pour un...
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ASSURANCE-CHÔMAGE : LES ENJEUX D’UNE RÉFORME EN TROIS ACTES

Publié le 27/07/2018

Les partenaires sociaux se retrouveront dès septembre pour une phase de diagnostic sur l’assurance-chômage, sujet remis sur la table des négociations par l’exécutif.

Retour à la case départ. Négociée pendant deux mois par les partenaires sociaux pour déboucher mi-février sur un accord national interprofessionnel (paraphé par l’ensemble des organisations, à l’exception de la CGT), la réforme de l’assurance-chômage est actuellement au cœur du projet de loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel, qui devrait être adopté définitivement aux alentours du 1er août. Mais, surprise : le 9 juillet, devant les parlementaires réunis en Congrès, Emmanuel Macron a demandé « une révision des règles de l’assurance-chômage, qui ont pu involontairement encourager le développement de ce qu’on appelle la permittence et de la précarité ». Le projet de loi intègre pourtant plusieurs mesures en ce sens : instauration d’un bonus-malus pour les entreprises qui abusent des contrats courts si les partenaires sociaux ne parviennent pas à se mettre d’accord d’ici au 1er janvier, possibilité de toucher par décret au dispositif de cumul allocation-salaire, etc. Alors, pourquoi une telle demande ? Et, surtout, pourquoi maintenant ?

Un diagnostic préalable

Devant le Sénat, la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a justifié la réouverture de ce chantier en estimant qu’il était « nécessaire d’aller plus loin [car le texte] ne prévoit pas de réforme systémique de l’assurance-chômage ». Dès septembre, les partenaires sociaux seront donc reçus (en bilatérales puis lors d’une multilatérale) afin de définir le contenu de la lettre de cadrage des prochaines négociations. « Remettre à plat les enjeux de l’évolution du système avant de s’engager dans la négociation est indispensable. Nous avons besoin d’un diagnostic des forces et faiblesses du système actuel, explique Marylise Léon, secrétaire générale adjointe de la CFDT. Ne serait-ce que pour réactualiser le diagnostic établi en amont de la dernière convention d’assurance-chômage. Mais aussi pour mieux construire les scénarios d’évolution tout en anticipant leurs conséquences. »

     

Service public de l’emploi : les pistes de l’exécutif
Si, officiellement, le rapport CAP 2022 ne doit pas être rendu public avant l’automne, certaines propositions portant sur le service public de l’emploi pourraient être reprises in extenso par le gouvernement. Et, parmi elles, la volonté de renforcer la coordination et la coopération des acteurs : Pôle emploi, missions locales et Cap emploi. L’idée est de proposer à des collectivités d’expérimenter une fusion de leur mission locale avec des services de Pôle emploi. La réaction syndicale ne s’est pas fait attendre. « Ouvrir cette expérimentation conduira sans aucun doute à la disparition de la spécificité de l’accompagnement global des jeunes, la fin de l’ancrage territorial et à la régionalisation, à terme, du service public de l’emploi », fustige Jean-Michel Mourouvin, du Syndicat national des métiers de l’insertion (Synami-CFDT).

Le gouvernement envisage également de redimensionner Pôle emploi pour indexer les baisses d’effectifs de l’opérateur en fonction du cycle économique. En clair : réduire les effectifs quand le chômage recule. La ministre du Travail se défend de vouloir recourir aux CDD pour y parvenir, mais reste silencieuse sur le chiffre de 4 000 suppressions de postes qui circule depuis plusieurs mois (lire SH no 3641). Le 20 juillet, en comité central d’entreprise (CCE) de Pôle emploi, l’élu CFDT David Vallaperta a rappelé que la priorité était de « renforcer les capacités d’accompagnement, pas de les diminuer ou de les fragiliser. Des annonces comme celles visant à réduire les effectifs ou à expérimenter des hypothèses hasardeuses et dangereuses de fusion ne font que déstabiliser le service public de l’emploi, et ce, alors que ces sujets ne font l’objet d’aucune concertation sociale ».
     

Quels seront les sujets au centre des discussions paritaires : la permittence d’abord, pour laquelle le gouvernement a choisi de maintenir l’amendement laissant toute latitude à l’exécutif de toucher par décret aux règles de cumul allocation-emploi. « Les partenaires sociaux auront quatre mois pour négocier (soit jusqu’au début 2019) mais, dans le même temps, l’exécutif aura les mains libres pour faire ce qu’il souhaite à compter de la promulgation de la loi. C’est une manière de les mettre sous pression », pointe le service juridique confédéral. Mais aussi la précarité, point dur des discussions d’assurance-chômage depuis des années. « Le rythme des négociations de branche ne répond visiblement pas à l’impatience du gouvernement, qui veut aller vite sur la question des contrats courts », analyse Marylise Léon. Dernier point : l’articulation entre assurance et solidarité. L’amendement déposé au Sénat le 10 juillet propose aux partenaires sociaux de négocier « la création d’une allocation chômage de longue durée » pour les demandeurs d’emploi qui ont épuisé leurs droits. Aujourd’hui, un chômeur est indemnisé pendant deux ans avant de basculer dans l’allocation de solidarité spécifique (ASS), relevant de l’État. « La question de l’articulation entre système assurantiel, solidarité nationale et minima sociaux est essentielle pour assurer la continuité des droits des demandeurs d’emploi. Mais il ne doit pas s’agir de repasser à l’Unédic les dépenses de l’État. On peut faire mieux, mais si on nous demande de faire plus, il faudra des ressources supplémentaires », met en garde Marylise Léon.

Un modèle social pour en finir avec le chômage de masse

Or l’exécutif ne s’en cache pas : l’heure est aux économies. Le transfert de l’ASS vers l’Unédic nuirait aux comptes du régime et risquerait de se répercuter sur les droits de tous les demandeurs d’emploi. « Si le jeu est d’amoindrir la prise en compte des personnes qui sont en situation difficile, soit d’exclusion, soit de chômage, pour faire croire que c’est comme ça qu’on les aidera à repartir vers l’emploi, là, il y aura une profonde résistance de notre part, prévient la CFDT. Sur l’assurance-chômage, nous sommes à un tournant : quel modèle social souhaitons-nous pour en finir avec le chômage de masse ? » Rendez-vous en septembre.

 

Section syndicale CFDT-GETRAG

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